Marie Tombal.
Paresseuse et coquette, c'est une femme comme on n'en voit plus depuis plus d'un siècle.
Cohéritière du cimetière, elle poursuit la persécution entreprise dès leur plus jeune âge à l’encontre de son cousin. Avoir la peau des mains exempte de la moindre callosité et aussi douce que celle d’une fesse de nouveau-né lui permet de porter jusqu’à la démesure la concurrence déloyale.